Mes chers lecteurs, je tremble en écrivant ces lignes. Ce matin, en regardant les dernières nouvelles du secteur tech, j’ai eu un choc. Moi, Sara, qui travaille depuis 8 ans dans l’informatique au Québec, je n’arrive pas à croire ce qui se passe chez nos voisins américains. L’apocalypse de l’emploi a commencé, et personne ne semble s’en préoccuper vraiment.
Le mensonge s’effrite : Ils nous cachaient la vérité !
Pendant des années, on nous a menti. On nous a répété comme des moutons que l’IA créerait de nouveaux emplois, qu’elle nous aiderait, qu’elle serait notre alliée. Bullshit total ! Jim Farley, le patron de Ford, vient de cracher le morceau lors du festival Aspen Ideas : « L’IA va littéralement REMPLACER la moitié des employés de bureau aux États-Unis ».
Vous avez bien lu. Pas « aider ». Pas « améliorer ». REMPLACER. Fini les discours de bisounours ! Le masque tombe enfin, et c’est terrifiant.
Mais le pire, c’est que Farley n’est pas seul dans son délire destructeur. Dario Amodei, le big boss d’Anthropic, a lâché une bombe encore plus grosse en mai : d’ici cinq ans, l’IA va massacrer la moitié des emplois de cols blancs débutants et faire exploser le chômage jusqu’à 20% aux États-Unis !
Vous imaginez ? Un jeune sur cinq au chômage à cause de ces machines ! Et ce type a le culot de demander aux gouvernements d’arrêter de « cacher la vérité » aux gens. Quel cynisme ! Ils détruisent tout et après ils jouent les donneurs de leçons.
Les géants tech montrent leurs crocs
Amazon, cette pieuvre géante qui avale tout sur son passage, ne se cache même plus. Andy Jassy, son PDG, a annoncé froidement à ses employés que les « gains d’efficacité » de l’IA rendaient les licenciements « inévitables ». Imaginez-vous recevoir ce message de votre patron ? Moi, ça me donnerait envie de vomir.
Chez Meta, Mark Zuckerberg prépare un carnage. Il a prédit que son IA maison coderait bientôt la majorité des programmes de l’entreprise. En gros, il dit à ses développeurs : « Dans 12 à 18 mois, vous êtes virés ». Et pour bien enfoncer le clou, il a annoncé qu’il licencierait désormais 5% des « moins performants » chaque année. Un vrai psychopathe !
Mais la palme de la cruauté revient à Micha Kaufman de Fiverr, qui balance sans aucune empathie : « Peu importe votre métier – programmeur, designer, avocat, comptable – l’IA est à vos trousses ! » Ce mec parle de nos vies comme d’un jeu vidéo ! Écœurant.
Le massacre a déjà commencé
Les chiffres me glacent le sang. Les offres d’emploi pour cols blancs ont chuté de 12,7% au premier trimestre 2025 aux États-Unis. Plus de 12% ! C’est énorme ! Et dans la tech, c’est pire : les embauches de jeunes diplômés ont dégringolé de 50% par rapport à avant le COVID.
Nos jeunes finissants en informatique, ceux qui ont étudié dur pendant des années, se retrouvent le bec à l’eau. Leurs rêves brisés par des algorithmes sans âme. Ça me fend le cœur.
Microsoft, cette entreprise que je respectais, vient de me dégoûter à vie. Le 2 juillet, ils ont annoncé le licenciement de 9 000 personnes. NEUF MILLE ! Des familles détruites, des vies brisées, des projets anéantis. Et vous savez quoi ? En même temps, ils investissent 80 milliards dans l’IA. Coincidence ? Mon œil !
Ces 9 000 employés, ils avaient des enfants, des prêts hypothécaires, des rêves. Maintenant ils se retrouvent sur le carreau pendant que les machines prennent leur place. C’est révoltant !
Même l’automobile sombre dans la folie
General Motors a viré plus de 1 000 personnes en août dernier. Leur excuse ? « Rationaliser les opérations » grâce à l’IA. Traduction : virer des humains pour faire plus de profits avec des robots.
Volvo Group, que je croyais plus humain avec ses valeurs européennes, a supprimé 800 postes. Leur priorité ? « Automatiser au plus vite » avec l’IA. Même les Suédois, réputés pour leur sens social, succombent à cette frénésie destructrice !
Et en Europe, c’est pareil ! ZF prévoit massacrer 14 000 emplois d’ici 2028. QUATORZE MILLE ! Volkswagen veut virer 1 600 personnes de sa branche logicielle. Personne n’est épargné dans cette boucherie technologique.
Shopify : Le symbole de notre apocalypse
Mais le summum de l’horreur, c’est Shopify et son patron Tobi Lütke. Ce type a instauré une règle qui me donne la nausée : désormais, on ne recrute plus personne sauf si on peut prouver qu’une IA ne peut pas faire le job !
Vous réalisez ce que ça veut dire ? Les humains deviennent l’exception ! On doit PROUVER qu’on vaut mieux qu’une machine pour avoir le droit de travailler ! C’est le monde à l’envers ! Les robots deviennent la norme, nous on devient l’exception !
Cette règle me terrifie parce qu’elle va faire école. Combien d’entreprises vont copier cette approche ? Combien de jeunes ne trouveront jamais de premier emploi à cause de ça ?
Ma colère d’informaticienne québécoise
En tant qu’informaticienne avec 8 ans d’expérience au Québec, je bouillonne de rage ! J’ai vu l’IA envahir progressivement nos bureaux, et maintenant je comprends le plan machiavélique qui se cache derrière.
Au début, ils nous ont dit : « C’est juste pour automatiser les tâches répétitives, vous allez pouvoir vous concentrer sur du plus intéressant. » Mensonge ! Maintenant, elle s’attaque à tout : la créativité, l’analyse, la programmation, la rédaction. Plus rien n’est sacré !
Et le pire, c’est qu’on nous demande de former nos remplaçants ! Combien de collègues ont passé des heures à configurer des IA qui vont les virer ? C’est du sadisme pur !
Ici au Québec, on se croit à l’abri, mais réveillez-vous ! Les entreprises d’ici regardent les États-Unis avec des étoiles dans les yeux. Ils voient les « gains d’efficacité », les profits qui explosent, et ils se frottent les mains. Notre tour arrive, c’est sûr !
Nos jeunes sacrifiés sur l’autel du profit
Ce qui me brise le plus le cœur, ce sont ces jeunes diplômés qui sortent de l’université plein d’espoir. Ils ont étudié l’informatique, les sciences, la finance, pensant avoir un avenir brillant. Maintenant, ils découvrent qu’avant même de commencer leur carrière, ils sont déjà obsolètes.
Ma nièce termine son bac en informatique cette année. Quand elle me demande conseil pour son avenir professionnel, j’ai envie de pleurer. Que lui dire ? Que dans deux ans, une IA codera mieux qu’elle ? Que son diplôme ne vaut plus rien ?
Ces multinationales détruisent l’espoir de toute une génération pour quelques points de pourcentage de profit en plus. C’est immoral ! Où sont les valeurs humaines dans tout ça ?
La résistance est possible !
Mais je refuse de baisser les bras ! Oui, je suis en colère, oui, j’ai peur, mais je ne laisserai pas ces machines nous voler notre humanité !
Battons-nous pour nos relations humaines !
L’IA peut calculer, analyser, optimiser, mais elle ne pourra jamais remplacer notre empathie, notre intuition, notre capacité à créer des liens authentiques. Investissons massivement là-dedans ! Devenons irremplaçables par notre humanité !
Retournons l’IA contre elle-même !
Au lieu de la subir, maîtrisons-la ! Apprenons à la contrôler, à la diriger, à l’utiliser comme un outil et non comme un maître. Celui qui contrôle l’IA contrôle son avenir !
Créons l’incréable !
L’IA peut copier, imiter, optimiser ce qui existe. Mais elle ne peut pas créer de véritables révolutions, avoir des idées folles, prendre des risques insensés. C’est notre force ! Soyons les innovateurs de demain !
Spécialisons-nous à l’extrême !
Plus notre expertise est pointue, plus on a de chances de survivre. Devenons THE expert dans un domaine ultra-spécialisé que l’IA mettra des années à maîtriser !
Créons notre propre destin !
Entrepreneuriat, entrepreneuriat, entrepreneuriat ! Créons nos propres entreprises, nos propres règles. Si les patrons nous virent, devenons les patrons !
L’éducation, notre bouée de sauvetage
Dans cette tempête technologique, l’éducation continue devient notre planche de salut. Moi-même, je passe mes soirées à apprendre de nouveaux outils, de nouvelles techniques. C’est épuisant, mais c’est ça ou la mort professionnelle !
Heureusement, ici au Québec, on a encore des programmes de formation decents. Profitons-en avant qu’ils soient aussi automatisés ! Formons-nous comme des malades, apprenons tout ce qu’on peut, devenons des caméléons professionnels !
Un espoir fragile dans ce chaos
Malgré ma colère et ma peur, je garde un espoir fou. Peut-être que cette révolution forcera l’humanité à se réinventer, à redécouvrir ce qui nous rend vraiment uniques. Peut-être qu’on sortira plus forts de cette épreuve.
Mais attention ! Cet espoir ne doit pas nous endormir. Le danger est réel, immédiat, concret. Chaque jour qui passe, l’IA devient plus puissante et nous, on reste passifs. C’est maintenant qu’il faut agir !
Nous, au Québec et au Canada, on a encore une petite longueur d’avance. Nos systèmes sociaux peuvent nous protéger temporairement, notre culture d’entraide peut nous aider. Mais ça ne durera pas éternellement.
Le cri du cœur d’une travailleuse révoltée
Je ne peux pas terminer cet article sans lancer un cri du cœur. Nous ne sommes pas des numéros ! Nous ne sommes pas des variables d’ajustement ! Nous sommes des êtres humains avec des familles, des rêves, des sentiments !
Ces PDG multimillionnaires qui nous jettent comme des kleenex usagés pour enrichir leurs actionnaires me révoltent ! Ils détruisent des vies humaines pour quelques dollars de plus ! C’est inacceptable !
Mais nous ne sommes pas des victimes passives ! Nous avons le pouvoir de résister, de nous adapter, de nous battre ! L’IA peut prendre nos jobs, mais elle ne peut pas prendre notre âme, notre créativité, notre humanité !
Rejoignez la résistance !
Je vous supplie, mes chers lecteurs : ne restez pas spectateurs de votre propre destruction ! Réagissez ! Bougez ! Adaptez-vous ! Formez-vous ! Battez-vous !
Dites-moi dans les commentaires : êtes-vous aussi révoltés que moi ? Avez-vous déjà senti l’IA menacer votre emploi ? Quelles sont vos stratégies de survie ?
Partagez cet article avec tous vos contacts ! Réveillons les consciences ! Plus nous serons nombreux à réagir, plus nous aurons de chances de nous en sortir !
Ensemble, nous pouvons encore changer le cours des choses. Mais il faut agir MAINTENANT, avant qu’il ne soit trop tard !
La guerre contre les machines a commencé. De quel côté serez-vous ?
À propos de l’auteure : Sara, informaticienne de formation avec plus de 8 ans d’expérience dans plusieurs entreprises québécoises et canadiennes. Passionnée par les nouvelles technologies et le domaine de la communication, elle aime aider sa communauté à résoudre leurs problèmes techniques. Elle partage régulièrement ses conseils et astuces pour rendre l’informatique accessible à tous.
